Lors de la découverte de ce site magnifiquement arboré, la première idée de construction qui vint à l'esprit, fût naturellement l'idée de "cabane" dans les arbres ;

la seconde ; celle d'un "observatoire" 

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Afin de s'insérer le plus naturellement et discrètement possible dans le site, sans détruire sa magnifique végétation, la "cabane à vivre" prend le parti d'inverser les codes classiques, en regroupant dans son niveau inférieur « posée » délicatement au plus près du terrain naturel, les espaces "nuit". 

Les espaces de "jour", quand à eux en osmose avec les arbres, bénéficient d'un spectaculaire panorama sur la plaine au Sud et des apports solaires qui viennent les illuminer et les réchauffer. 

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En suivant les courbes de niveau du sol comme si elle réagissait au terrain de manière organique, la maison présente une faible hauteur, préservant les vues dégagées de la maison riveraine à l'est. Située en pleine forêt, la structure semble vouloir abolir les limites de la rencontre entre architecture et nature.

Revêtue de panneaux réfléchissants évanescent, la maison absorbe et reflète les feuillages des arbres pour entrer en symbiose avec la nature et devenir une partie de l'environnement naturel. Ces larges surfaces vitrées à l'ouest et au sud, font disparaître les frontières entre le dedans et le dehors, et son toit végétalisé la fait disparaître depuis la route au nord.